Sirus, les Dogons et les Nommos.Le mystère des Dogons sur leur compréhension de la constellation du Grand chien (Canis Majoris) représenté par l'étoile la plus brillante de notre ciel et de la voûte céleste après le soleil, Sirius A (Alpha Canis Majoris), reste encore aujourd'hui troublant.
Les Dogons se disaient les descendants d'un peuple du Proche-Orient, probablement les Sumériens eux-mêmes, qui avaient transporté leurs traditions orales pendant des milliers d'années. Dans toute l'histoire du Proche Orient il a toujours été connu que les Sumériens affirment que leur civilisation a vraiment commencé à fleurir quand ils ont été contacté par une créature descendue des cieux vers la mer. Notez que cette créature n'a pas été décrit comme un Dieu, ni ange, comme sont décrites les autres figures mythologiques Sumériennes. Comme nos amphibies cette créature devait vivre près de l'eau et souvent dans l'eau. En fait il est dépeint dans les sculptures du Proche-Orient comme un demi poisson demi homme. Apparemment, il a rencontré à plusieurs reprises un indigène sumérien sur une plage et lui a livré plusieurs de ses secrets, parmi lesquels le cadeau de l'écriture alphabétique. Cette légende, ou histoire, a été transmise par des générations et de nombreuses tribus comprenant les babyloniens.
Les Dogons de la République du Mali situé ci dessous,
connaissent ainsi certains détails astronomiques du système Sirius. Des symboles sacré en fer montre les orbites des étoiles Sirius B et C.
Etonnant lorsque l’on sait que la petite naine Sirius B n’est visible qu’au télescope, découverte par Friedrich Wilhem Bessel et Alvan Clarke, en 1844.
Selon nos connaissances actuelles, Sirius B tourne autour de Sirius A en 50 ans.
Ce que les Dogons avaient expliqué au moins quarante ans avant que nos télescopes plus puissants purent même constater l'existence de la troisième étoile de Sirius. C'est ainsi que l'on en vint à suggérer que les Dogons avaient bien du obtenir ces informations d'une source extraterrestre.
Étonnamment, les Dogons fêtent le système de Sirius tous les 50 ans, depuis des générations. C’est là, en effet, qu’habiteraient leurs dieux, les Nommos.
Esprits ancestrales (des fois référés en tant que déités) vénérés par la tribu Dogon du Mali, Afrique. Le mot Nommos est dérivé d’une traduction Dogon qui veut dire, ‘action de faire boire quelqu’un’. Les Nommos sont généralement décris comme amphibiens, hermaphrodite, et sont des créatures poissons.
La mythologie Dogon décrit que les Nommos sont les premières créatures créés par le dieu du ciel Amma. Peut après sa création, les Nommos ont reçu une transformation et multiplièrent en 4 pairs de jumeaux. Un des jumeaux se rebella contre l’ordre universel crée par Amma.
Afin de restaurer l’ordre de sa création, Amma sacrifia un autre Nommos, dont le corps a été démembré et séparé à travers le monde. La dispersion des partis du corps est vu par les Dogon comme la source de prolifération de sanctuaires Binu à travers le territoire traditionnel Dogon; partout où un morceau du corps est tombé, un sanctuaire fut érigé.
Le Nommo est descendu du ciel dans une soucoupe accompagné de feu et de foudre. Après être arrivé, le Nommo créa un réservoir d’eau et plongeat subséquemment dedans. La légende Dogon nous dit que le Nommo avait besoin d’un environnement humide pour pouvoir vivre.
« Le Nommo divisa son corps parmi les hommes pour les nourrir; c’est pourquoi il est aussi dit que l’univers « avait bu de son corps, » le Nommo faisait aussi boire les hommes. Il donna tout ses principes aux humains. » Le Nommo a été crucifié à un arbre, mais ressuscita et retourna chez lui. La légende Dogon dit qu’il retournera dans le futur pour revisiter la Terre en forme Humaine.
Le Nommo a quelque ressemblance physique avec d’autres êtres mythologiques: Oannes (Babylone), Enki (Sumer), Fu Xi (Chine), Dagon (Philistin), et Nérée (Grèce), pour en citer quelques’un. Il est aussi intéressant de noter les motifs communs de l’histoire de Nommo avec celle d’Osiris (démembré puis l’élévation de temple aux endroits où restent chaque morceaux du corps). Il y a aussi de nombreux parallèles entre l’histoire de Nommo et les traditions de Jésus: les deux ont été crucifié, tout deux ont instruit les fidèles de ‘boire mon corps’, et tout deux ont été associé avec le poisson.
Avec des masques Sirigi hauts de quatre mètres, ils imitent la descente sur terre de l’arche des dieux.
>Autre masque Dogons célèbre:
Il devrait être noté que dans les années 40 quand Marcel Griaule et Germaine Dieterlen enregistrèrent leurs légendes Nommos, les Dogons étaient déjà entré en contact avec l’Islam et la Chrétienté, ce qui pourrait avoir influencé quelques une de leurs jeunes traditions Nommos, notamment celles similaire aux traditions chrétiennes concernant Jésus.
Sujet: Sirus, les Dogons et les Nommos.
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